Notre secteur a été le premier touché, car les dentistes sont parmi les plus exposés au coronavirus. Suivant un effet domino, nous avons successivement fermé nos sites d’Italie, d’Espagne, de France, puis du Maroc. A l’heure actuelle, nos cadres travaillent depuis chez eux à l’accompagnement de nos clients et partenaires », explique Philippe Véran, le PDG-cofondateur, qui résume ainsi l’ampleur de la crise : « En temps normal, nous expédions en moyenne 1.500 commandes par jour, contre une seule pour la journée le 19 mars ».